Court mais bon.
De grimpant il est devenu pleureur.
Même pas eu le temps de se plaindre des nuits chaudes, à peine eu l’occasion de souffrir de la chaleur, il a bien fallu arroser une fois ou deux les salades et tomates, changer d’emploi du temps, le jardin plutôt en fin d’après-midi qu’en début, baisser les volets du séjour dans la journée et rouspéter après quelques mouches qui elles aussi y croyaient.
Et oui l’été s’est dilué dans un bel orage, j’imagine que les brochettes achetées le matin par des barbecumen acharnés sont restées à l’état de projet culinaire et je ne pense pas que les chapelets de merguez soient mieux lotis. sans parler des coussins des fauteuils de jardin qu'il faut rentrer en catastrophe. Ah ma pove dame c'est bin des soucis tout ça!
Je ne suis même pas sûre d’avoir envie d’aller constater les dégats sur les rosiers, ils croulaient déjà sous les fleurs alors avec tout ce que le ciel a déversé…