Comme un parfum d’avant
En 1977 nous partons vivre en Algérie pour quelques années, outre nos familles nous abandonnons les programmes télé, Apostrophes, le film du dimanche soir, les Carpentier et la série américaine qui déchaîne les passions, Dallas.
De l’autre côté de la Méditerranée nous trouvons le parfum du jasmin et des orangeraies, la mer, des gens accueillants et la télé, une seule chaîne qui diffuse toute la journée le Coran, des infos interminables le soir et surprise, une fois par semaine des épisodes inédits de…Dallas, la conduite choquante (pour l’époque) des femmes, les turpitudes de JR n’ont pas l’air de déranger les autorités religieuses.
Quand j’ai vu hier soir que cette série revenait avec des revenants, c’est bien le mot, la curiosité a été la plus forte.
Même, surtout les acteurs et actrices ne devraient pas vieillir ou alors ne plus se montrer, c’est pathétique et le côté sulfureux de l’époque est bien démodé.
Mais c’était amusant de repenser à ces années algériennes.