Beaux gosses partis.
La ligne 14 était vide, tant mieux pour Henri qui a pu poser son sac qui lui cisaillait les épaules, oui c’est lourd les outils.
A St Lazare nous avons retrouvé Christine, de justesse, elle apportait à Victor un jean acheté sur le boncoin.
Pour une fois le train des enfants était annoncé sur le quai avec 20 bonnes minutes d’avance, ils ont eu le temps de m’embrasser et de chercher leurs places réservées.
1, 2, 3,4, ils sont tous montés, je jette un œil par terre, rien n' à été oublié, je peux partir tranquille.
J’ai rendez-vous avec des blogueurs, il pleut, fait froid, un bon café sera bienvenu. Finalement le café s’étire, il pleut toujours, une assiette de pates bien chaude s’invite au milieu de notre agréable papotage.
Rentrée à la maison je sens comme un manque après une semaine entourée de jeunes visages, calme et silence s’installent, je vais regarder un film et pourquoi pas un beau gosse, pourquoi pas Clooney ?