Empreinte.
Je n’aime pas fermer un livre* dans lequel je me suis plongée quelques jours, je déteste le mot fin condamnant des personnages à disparaître, j’ai horreur d’abandonner un lieu où je me sentais chez moi, quand un livre m’a comblée à ce point, je n’aime pas du tout m’en sentir ainsi délaissée.
J’ai aimé le récit de ces expéditions pour ramener des graines, des boutures, des plants de tout ce qui nous entoure aujourd’hui.
J'ai "écouté" avec grand plaisir les joutes oratoires sur les orchidées ou la religion.
J’ai aimé la description quasi scientifique d’un univers que l’on piétine sans aucun égard, les mousses sur les rochers. La liste serait trop longue, j’ai tout aimé dans ce livre sauf quelques pages sur Tahiti mais c’est un endroit qui ne m’a jamais fait rêver.
*L'empreinte de toutes choses.