15 février 2015
J’aime cet auteur, j’aime ce livre.
Une écriture pour celui-ci un peu spéciale, comme détachée. Pas un nom encore moins un prénom, sauf Simone de Beauvoir et Dostoievski, pas un lieu nommé, sauf Copenhague, elle n’emploie jamais les possessifs, son fils est le garçon, sa mère la femme, son père l’homme, même chose pour la génération suivante, je dois rester vigilante pour ne pas confondre les personnages.
Pas facile la vie des femmes en Norvège dans les années 60-70.
Rien à voir avec le romanesque flamboyant du Livre de Dina et de sa suite mais tout aussi passionnant.
Publicité
Commentaires
M
C
A
B
H