31 mai 2015
Vitres propres, oiseaux sales.
Je savais bien qu’à peine avoir fini la corvée des vitres il y aurait des représailles au salon.
Après s’être cognés et presque assommés sur les vitres, trop transparentes sans doute, voilà qu'un seul oiseau, un rescapé peut-être des raids suicides mais très mal élevé a laissé sur une vitre un souvenir qui m’obligera si je n’ai pas trop la flemme à ressortir l’escabeau, les chiffons et le vinaigre d’alcool.
A la cuisine hier c’était un gros frelon que Maky a écrasé sur une vitre mais c’était une question de sécurité familiale, à la moindre piqûre je gonfle de manière ridicule et démesurée.
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