5 janvier 2016
J’en avais besoin sans le savoir.
Le froid, les glaciers, la lave, le vent qui rend fou, la mer mangeuse d’hommes, par la grâce du livre je me retrouve en Islande.
Même pas un polar, beau comme un poème, triste comme un jour de pluie, nostalgique et mélancolique et des descriptions de paysages lunaires extraordinaires.
Le roman propose 3 visions de la vie, le deuil y a une place importante et le titre fait sourire.
Pour revenir au quotidien, le sapin est défait, les décos rangées, le rhume prend tout son temps pour déguerpir, bonne excuse pour ne pas hésiter trop longtemps entre plumeau et lecture.
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