Finir en apothéose
N’ayons pas peur des mots n’est ce pas.
Après une matinée moyenne, un déjeuner pas mal, vers 15h le soleil a succédé au gris du matin, sur le marché j’avais interrogé l’horticulteur au sujet de ma sauge, attendez un peu avant de couper m’a-t-il dit, donc je me suis attaquée seulement au joli rosier de l’atelier, il a meilleure mine maintenant et je sais qu’il se remettra de son bain forcé.
Les acanthes ont subi une taille sévère aussi et j’ai retrouvé pas mal de choses dans les plate-bandes, gros pots en grès emportés par les flots par exemple.
Une bonne après-midi qui aurait pu clore la journée mais un petit tour dans ma lingerie me titillait, allez encore un peu de tri dans les livres et soudain je vois des rescapés, tout en haut d’un placard, sauvés des eaux par Maky à qui je voue depuis une reconnaissance éternelle.