6 mois après le désastre tout doucement la rue s’éveille.

Après la coiffeuse, le boucher, la boulangère, l’informatique, l’esthéticienne, le 14 novembre ce sera la librairie qui accueillera à nouveau les accros aux quotidiens.

Suivront sans doute en décembre l’autre boulanger, le café- tabac et les 2 banques.

L’hôtel restaurant d’après radio trottoir n’ouvrira pas quant au cabinet d’infirmières, ostéopathe et pédicure elles  sont installées ailleurs dans un provisoire qui dure.

Tout cela met un peu de vie dans la journée mais le soir je me rends bien compte que nous ne sommes qu’une petite dizaine à habiter la rue.

Les commerçants vivent ailleurs.

Comments

[emiliacelina]

cela doit vous faire bizarre! Ce désastre e va pas avoir un impact négatif pour vendre la maison ?

[colettemoi]

Après un tel traumatisme, il faut du temps pour que la vie revienne .....

[Livfourmi]

Parce qu'avant ils habitaient dans la rue?

[heure-bleue]

Finalement, c'est un choix judicieux de vouloir partir.

[Marie]

Faut le temps, dis donc... Ça ne fait pas beaucoup, une petite dizaine, ça doit être calme...