28 octobre 2016
L’ultime.
« Ma maison a brûlé par une nuit d’automne. »
Et l’auteur décrit le sentiment d’impuissance qui envahit son personnage principal face au désastre, à la désolation devant la perte certes de l’indispensable mais surtout des petits riens sans importance aux yeux d’autrui et qui font une vie.
Il a tout perdu sauf une botte en caoutchouc, fabrication suédoise et non pas chinoise.
J’avais raison d’attendre ce livre, je savais qu’il répondrait à beaucoup de mes interrogations.
Bon je retourne à ma lecture.
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