23 mars 2016
Eté 2007.
J'ai la nostalgie des cavalcades dans l'escalier, des cris, disputes, colères, éclats de rire, courses dans le jardin, des vélos qui traînent, des "quand est-ce qu'on mange".
J'ai la nostalgie de leur enfance, des ces moments de bonheur dont on ne profite pas assez.
Arthur est à 2 mois de ses 20 ans, Victor a une carrure de rugbyman, Henri maîtrise mieux le verlan que l'anglais et Eugénie grandit trop vite.
Oui le temps des petits est bien fini.
Une chose est immuable j'entends toujours Maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaab quand ils sont là.
Publicité
Commentaires
M
S
A
M
E